Le baby bump de Florie Galli, qui est actuellement dans son septième mois de grossesse, se fait de plus en plus visible. Elle attend un petit garçon dont la naissance est prévue pour le mois de mai. Et pour l’ancienne candidate de l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL, cette grossesse commence à être épuisante. Sur sa story Instagram du samedi 9 mars, Florie Galli a d’ailleurs expliqué être allée à l’hôpital car elle n’arrivait plus à marcher et avait des difficultés à respirer correctement.

Florie Galli (Familles nombreuses) : “J’ai le rythme cardiaque qui s’est accéléré”

Sur le réseau social, où elle est suivie par plus de 301 000 personnes, la mère de famille a d’abord expliqué qu’elle avait encore du mal à respirer. Après chacune de ses phrases, Florie Galli est effectivement à bout de souffle. “Je pense que c’est parce que j’ai le rythme cardiaque qui s’est accéléré”, a-t-elle souligné.

Elle a ensuite déclaré avoir fait quelques examens pour savoir si elle faisait de l’anémie, mais ce n’était absolument pas le cas. Une petite déception pour Florie Galli, qui s’était dit qu’avec une perfusion de fer, elle irait beaucoup mieux.

Après une série d’examens, elle a appris que sa vessie était très basse et que ses organes étaient écrasés par le bébé. Ce qui ne l’a pas étonnée, puisqu’elle a l’impression qu’elle va “exploser”.

Florie Galli (Familles nombreuses) doit se reposer

Au final, Florie Galli a surtout besoin de beaucoup de repos pour mener à bien sa grossesse. “Ils m’ont dit que j’étais un peu surmenée. Cette fin de grossesse est vraiment difficile et ils m’ont dit qu’il fallait vraiment que je me repose. Il n’y a que ça qui va me soigner.

Mais c’est compliqué. Je n’arrive pas trop à me reposer. Mais je sens que le matin, ça va. C’est au fil de la journée que ça dégénère un peu. C’est surtout que ça pèse et à ce stade-là, je ne comprends pas.

Je n’ai jamais été aussi mal. Après, je ne suis plus toute jeune et je suis fatiguée plus que pour mes grossesses précédentes”, a-t-elle expliqué avant de conclure : “Mais il faut que je tienne bon.”

Article écrit avec la collaboration de 6médias.