Le grand retour des familles hors du commun a déjà débuté sur TF1. Pour cette huitième saison de Familles nombreuses : la vie en XXL, les téléspectateurs ont eu la joie de retrouver la mythique tribu Gayat après trois ans d’absence sur nos écrans. Si sept familles ont malheureusement tiré leur révérence, la saison a commencé avec les portraits de trois nouveaux clans.

Les Philippe, une famille à l’éducation stricte, les Cortez, qui se définissent comme une famille “à la cool”, les Félicien, touchés par la surdité, et enfin les Elah. Dans l’épisode inédit du 27 février, les fans du programme font la connaissance d’Hanaa et Irshad, un couple qui a surmonté de nombreux obstacles afin de réaliser leur rêve de devenir une famille nombreuse.

Les époux Elah ont fait bloc face à la stérilité d’Hanaa

Irshad et Hanaa, 31 et 30 ans, rêvaient de devenir parents depuis leur rencontre en novembre 2013. Hélas, la jeune créatrice de contenus est rapidement confrontée à des difficultés pour tomber enceinte.“Depuis toute petite, j’ai toujours voulu avoir une famille nombreuse.

J’ai l’impression d’être née pour être mère ! Pour moi, c’est le sens de la vie”, a assuré Hanaa Elah qui a appris qu’elle était stérile au retour de son voyage de noces, à l’âge de 23 ans. “À partir de là, c’est devenu angoissant. Mon désir de maternité s’est transformé en obsession”, confie celle qui a finalement tenté “le traitement de l’espoir”.

Les quatre enfants “miracle”

Les deux jeunes mariés, tous deux originaires de l’île Maurice, ont traversé bien des épreuves. La jeune femme stérile s’est accrochée à une lueur d’espoir : un protocole médicalement assisté. “Il ne faut jamais rien lâcher et garder espoir”, assure Irshad Elah.

Aujourd’hui, le couple qui vit en Île-de-France élève “quatre miracles” pour leur plus grand bonheur : Aylan, une fillette de 6 ans, Keyden qui a tout juste 5 ans, et les jumeaux de 2 ans, Ayna et Emyr. “Nos enfants, c’est toute notre vie”, confie la jeune maman la larme à l’œil. “Le fait d’avoir pu louper cette parentalité, il faut qu’aujourd’hui on la vive à 1000 %.”

Article écrit avec la collaboration de 6Medias